dimanche 23 décembre 2018

Qui gaspille donc l’argent public ?


Qui gaspille donc l’argent public ?



C'est curieux de constater que même dans les pays industrialisés et structurés, les politiques et économistes et différents "stratèges" posent sans cesse des questions et problèmes dont les réponses sont connues.

Dans de nombreux pays se pose sans cesse la même question en cette fin décembre 2018: où va la dépense publique ? Même les "économistes émérites" posent sans cesse la même question. Prenons par exemple la France des Huguenots. Il suffit de lire les rapports de la cour des comptes de ce pays pour savoir qui mange ce "pognon de dingue"

Premier coupable qui mange le "pognon de dingue"; la cour des comptes dit que ce sont les dépenses fiscales (plus de 90 milliards euros par an et excusez du peu) et si ce terme est technique pour vous, il signifie simplement les cadeaux fiscaux au 0,01% qui détient 99,99% de la richesse. Vous allez sans doute vous demander la raison de ces cadeaux fiscaux. Réponse ; ils servent à amadouer le 0,01% qui peut en un clic d’ordinateur déplacer sa fortune vers le Panama ou vers les Bahamas ou vers l’Etat du Delaware! Ce 0,01% trépigne du pied et n’attend plus que le monde nouveau sans pays, sans cultures des peuples, sans DIEU et gouverné depuis un prétendu nouveau temple localisé là où dit la Bible, par  l’antéchrist de Satan.

Donc les cadeaux fiscaux faits à certaines catégories de citoyens sont le premier responsable des problèmes et ensuite la cour des comptes ajoute que l'efficacité des ces cadeaux n'est pas prouvée et va même jusqu'à faire des tests qui démontrent largement l'inefficacité de plusieurs cadeaux fiscaux.

Deuxième coupable qui mange le "pognon de dingue": irrationalité des investissements publics parce que non application des techniques modernes de project management; les annonces politiques et les prétendus schémas directeurs qu'affectionnent nos loufoques dictateurs des tropiques prenant le pas sur les techniques d'évaluation de la pertinence économique. Ici le coupable est à rechercher dans ce 18ème siècle maçonnique des ténèbres qui nous a légué ce système de prétendus "partis politiques" qui font compétition dit-on devant le peuple pour accéder au pouvoir et au gouvernement (alors que chacun sait que du fonds des ténèbres ce sont les comploteurs illuminatis qui tirent les ficelles pour vainement essayer d'établir le prétendu gouvernement mondial des ténèbres).

Au passage, la cour des comptes rappelle un principe fondamental en économie: l'inflation zéro que recherchent toutes les banques centrales enrichit les capitalistes détenteurs de titres de créances (sur l'Etat bien sûr) mais aggrave de plus en plus le déficit public c'est-à-dire appauvrit de plus en plus le "reste de la population". Voilà un troisième mangeur de "pognon de dingue" ; cette quête mondiale effrénée de l’inflation zéro.

Puis dans un langage technocratique rôdé, la cour des comptes dit que toutes les souffrances des coupes budgétaires imposées aux peuples européens depuis Bruxelles sont fondées sur un « PIB potentiel » que personne ne sait comment mesurer en économie. Et comme personne ne sait comment mesurer, chacun fait son choix idéologique en ce qui concerne la méthode de mesure. Chaque gouvernement a sa mesure, le couple FMI/World Bank a sa mesure, Bruxelles a sa mesure et les économistes se déchirent à longueur d’années sur comment mesurer une insaisissable « croissance potentielle » et un chimérique « PIB potentiel ». Pourtant le « PIB potentiel » et la « croissance potentielle » sont les fondations que Bruxelles utilise pour imposer ses coupes budgétaires. Voilà de la sorcellerie à l’état pur qu’un gilet jaune qui n’a fréquenté ni Polytechnique, ni Centrale, ni l’Ena, ni Hec ne comprend point.

Cet exemple de la France se répète en fait dans la quasi totalité des pays, avec grossière amplification dans nos dictatures des tropiques et nous venons de le partager simplement à titre d'illustration pour que les peuples de la terre comprennent qu’en économie politique, la magie n’opère point et tout choix irrationnel se paie par une variable d’ajustement. Les illuminatis ont fait un choix spirituel du fonds des ténèbres : ce choix satanique dit que la construction du gouvernement mondial adorant le veau d’or étant essentiellement irrationnelle, les peuples sont la variable d’ajustement qui va payer le prix de l’avènement de l’antéchrist.

Il n'y a donc plus à lancer des audits de dépenses publiques en ce qui concerne les pays développés ; il faut simplement ouvrir et lire les rapports des cours des comptes et "marketer" leur contenu auprès des peuples afin qu’ils comprennent que les illuminatis les ont tous offerts en sacrifice sur l’autel du veau d’or, comme variable d’ajustement.

Shalom à tous les peuples de la terre.

Révérend Apôtre JOSEPH TOUBI

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